lundi 20 janvier 2014

Trip à moto: Bhubaneswar-Chennai-Puducherry (16-19 déc. 2013)



Avec Aurore, Marco, Ossi et Kasper
Bhubaneswar et Chennai, voilà 2 villes dont je ne vais pas pouvoir vous parler très longtemps. En effet, elles ont plutôt été des villes relais dans lesquelles nous ne nous sommes pas trop attardé. Notre but était de nous épargner quelque heures de trajet et donc de prendre l'avion entre Bhubaneswar et Chennai où un ami Indien de Mdi (Jessi) nous a vivement conseillé de louer des motos pour faire la route Chennai-Puducherry. Et pas n'importe quelles motos… des Royal Enfield! Bon, du coup les challenges, c'est 1) On a, pour la plupart d'entre nous, pas le permis donc arriver à louer les engins 2) Pour la même raison qu'en 1, on a pas d'expérience, allons-nous savoir rouler? 3)Rouler à gauche 4) Rouler à gauche, en Inde 5) Transporter en même temps nos gros sacs de voyages.
La bonne nouvelle, c'est que si j'écris ces lignes, c'est que tout s'est bien passé et que nous avons relevé tous les défis. Pour plus de détails, je vous raconterai ;-) Mais voici les photos qui pourront vous donner une idée du PIED que c'était. Nous avons loué 4 Royal Enfield 500: Une rouge avec Marco et Aurore, une noir avec Ossi, une Bleu avec Kasper et encore une noir avec moi et les 3 gros bagages. La route entre les 2 cité est tout simplement splendide et alterne vu sur le golfe du Bengale, vue sur des lacs immenses, traversée de forêts/jungle, traversée de mini villes. Nous nous sommes arrêté un moment pour nous rapprocher de la plage où Ossi s'est amusé à rouler directement sur la plage et où j'ai juste réussit à m'embourber à cause du poids de la moto et des sacs (bien sûr que non pas le miens, je ne pèse rien!). Du coup, heureusement que Marco est venu m'aidé parce qu'en plus la moto se coupait tout le temps. Il y a aussi eu 2 très gentils indiens qui sont venu nous aider à pousser la moto. La conclusion, c'est qu'il ne faut pas faire de moto sur la plage et que je me suis retrouvé avec pleins de sable partout et un pantalon tout noir… (Vive les égouts déversés dans la mer).




























































Arrivé à Puducherry, nous mettons un peu de temps à retrouver Ossi qui avait envie de partir seul pour se lâcher un peu plus étant le seul vraiment expérimenté d'entre nous. Nous garons les 4 engins et pouvons découvrir la partie française de la ville. C'est un ancien comptoir français qui en a gardé une grande trace, je dirais très positive pour la ville mais surtout pour nous. C'est certainement la ville la plus européanisée que j'ai pu voir depuis le début de mes voyages. 


























Les "blancs" n'hésitent pas à rouler eux-mêmes en vélos, moto ou scooter. La digue la nuit est tout simplement un pure plaisir et les gens sont agréables, la nourriture est succulente et le top du top, plusieurs commerçants parlent même le français. Nous croisons beaucoup de noms de rues, ancien bâtiments ou autre avec encore des noms français. Nous sommes passé par le restaurant 'la maison rose', "le club", "The bakery street" et enfin la maison des arts tenu par une famille française qui a décidée de faire commerce ici parce que comme la gérante nous a si bien dit: 'de jours en jours, rien n'est jamais pareil, on reste au même endroit, mais on ne s'ennuie jamais'. Bon ben voilà, en tout cas c'est bien bon!









C'est dans ce café que le groupe se sépare: Ossi et Kasper se rendent à Chennai pour prendre un avion en direction du Sri-Lanka et Aurore, Marco et moi continuons notre tours du sud de l'Inde. Et pour la petite histoire, Ossi et Kasper n'ont pas su avoir de bus pour aller à Chennai, ils ont alors pris un taxi qui a cassé au milieu du chemin et le suivant qui est venu le chercher ne connaissait pas le chemin. Résultat: ils ont ratés leur avion. MAIS Kasper Devait partir à cause de son visa et ils ont donc dû débourser beaucoup d'argent pour prendre un vol de dernière minute. haha



Fin

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